Petits «comptes» d'hiver au coin du feu nucléaire

Vichy « je te vois (1)»

ou l’État et la bande à Rockefeller « ça commence à bien faire (2)»

Ce titre a été repris depuis le 14 juillet 2009.

Il faut le répéter tout le temps, c'est énervant.

mais c'est à cause de l'abrutissement.

Ambiant.

Et comme c'est bientôt l'hiver.

Les vieilles douleurs reprennent avec d'autres qui s'amoncellent.

Le césium 137 nous ronge les os et l'iode 131 nous fout les glandes.

Heureusement que pour notre diabète.

On a toujours une boite de Médiator.

Sur la table de chevet.

A moins que cela soit pour notre cholestérol.

Mais on s'en souvient plus.

C'est Alzheimer.

De toute façon on arrive jamais à attraper la boite.

ça c'est Parkinson.

La France est dans de beaux draps.

Vichy, je te vois.

Depuis comme dirait le préfet de De Gaulle Papon.

Il en est passé sous les ponts.

Des algériens des boues rouges.

De bauxite des clandestins des suicidés.

Des immolés des eaux contaminés.

Si rien ne bouge.

Boues chimiques et radioactives génétiquement modifiées.

Nanoparticules pétrole plutonium sur les côtes déchiquetés.

Les pirates sont de retour car ils crèvent de faim.

Hors la loi ? Mais si ces lois sont de Vichy.

Comme les parents de Giscard D'Estaing.

Qui ont envoyé leur rejeton sous la croix de Lorraine.

Pour rester enrichis.

Le second malheur a voulu qu'il épouse une Schneider.

Cela sonne comme Schueller mais c'est « bête et trop court ».

Car Wendel aussi était du comité des Forges.

Elle a pu le travailler au corps le Grand Corps des Mines.

Le CEA et EDF et forger l'imposture nucléaire.

De toute pièce comme l'indépendance énergétique.

C'était pour la bombe tout est authentique.

Et la facture encore plus électrique.

Papon le préfet.

Au rythme où vont les choses.

Sera bientôt réhabilité compagnon de la libération.

Ou canonisé comme son curé Pie 12 .

Après Bigeard aux invalides.

Guy Mocquet mort parce que fils de Prosper, rétrogradé stalinien.

Alors que son contraire du même âge.

Édouard Leclerc depuis Landernau a fait du chemin.

Il y a comme un décalage.

Le saigneur de Billancourt.

Bon père de famille.

Ne trône plus à Oradour.

Cela rappelle le sac de billes.

Le préfet, celui qui s'est pris une balle dans la nuque.

J'ai cru que c'était le même qui a ordonné.

De débrancher la balise de mesure des particules radioactives .

Tombant de nuages qui ne sont pas passés.

Chez les pompiers en Corse au printemps 86.

Depuis d'après le Dr Falconnier les corses ont les glandes 131.

Ils ont une dent contenant du strontium80.

Contre l 'État .

Il n'y a pas qu'eux.

Un préfet à Soulaines Dhuis a fait en sorte.

Que l'enquête épidémio autour du centre de stockage ne révèle rien.

Pour que rien ne sorte en quelque sorte.

Comme celle autour de Tricastin.

Comme celle autour de Chooz presque rien.

Comme celle de La Hague on tourne en vain.

Les préfets tournent aussi pour ne répondre de rien.

Et peut on se pavaner sur les Glières.

Et détruire les fondamentaux du CNR ?.

Partout cela pue la récupération sécuritaire.

Mais on nous a déjà fait le coup du bouc émissaire.

Car c'est pas l'étranger, le pas comme nous.

Le facho, il est bien de chez nous.

Peut-on brasser des milliards de bonus et stock-option à tour de bras.

Et ne pas s’apercevoir qu'on a qu'un seul estomac ?.

Et L'État, « ça commence à bien faire ».

Mais maintenant c'est « l'âge de faire ».

Mon prof d'histoire est de Soulaines Dhuis

Faudra qu'il dise pourquoi toutes ces pages de l'histoire

Sont restées blanches ou mal orthographiées

On en apprend plus sur l'histoire de France à l'étranger

Sétif, Thiaroye, Madagascar hier.

Maintenant Libye Côte d'Ivoire.

Afghanistan Niger.

Il est nécessaire d'aimer Césaire.

Et faire comprendre à ces fossoyeurs

Qu’il faut écouter le bruit et sentir l'odeur

ça sent le yello cake d'Arlit.

Le trafic d'arme et autre jouet technofasciste.

Tout ça pour payer leur campagne électorale.

Aller caresser le vieux dans le sens du poil.

Jusque dans les hospices.

Ils en ont plus à Karachi.

Ce prof d'histoire tout de même faudra qu'il s'explique.

Sur cette fausse république.

On nous a dit : l'école est sacré Ferry est un saint.

Et sur la Commune presque rien.

Alors que Ferry était féru de colonialisme.

Avec les autres frustrés après l'arrogance du bonapartisme.

Après la raclée de Sedan.

Seule la Commune a relevé le gant.

Et la peine de mort supprimée.

Bien avant qui vous savez.

Faudra qu'il s'explique sur De Gaulle à Dakar.

De Gaulle qui nomme son fils du prénom de son parrain.

Philippe Pétain.

4000 collabo d’exécutés à la libération sur plus de 7 millions d'actifs.

Ce n'est pas une purge, Vichy est resté dans le corps administratif.

Comme à Dakar il y a eu deux France.

Comme aux Glières, il y avait deux camarades de la même promotion de Saint-Cyr.

L'un en face de L'autre. Ils étaient accompagnés chacun d'un deuxième triste sire.

C'est ce deuxième milicien qui avait caché une arme et tiré sur Tom Morel.

Ces deux France , cela fait désordre pour une version officielle.

Seulement il faut bien le répéter, Des français ont assassiné des français.

Cette France là était tellement antisémite et tellement anticommuniste.

qu'elle a accueilli les nazis les bras ouverts.

C'est ce qu'avait laisser transparaître.

Marc Bloch avant de disparaître.

assassiné lui aussi juif alsacien comme Jean Zay et tant d'autres, dans « L'étrange défaite ».

Et son vœu d'historien renommé.

De retrouver cette vérité.

Dans les archives a été exaucé.

60 après par une autre historienne remarquable Mme Lacroix-Riz.

à savoir que la France a été livrée en 1940 aux nazis par l'oligarchie.

Tout cela a été confirmé par les faits.

Et d'autres historiens comme Paxton avaient déjà largement travaillé à ce sujet.

On remue le passé pour montrer le présent, parce que les mêmes mobiles, le même scénario se reproduisent de nos jours, et malgré le formatage de l'école « Ferryenne », bien lui a pris de nous apprendre à lire et. avec le sens de l'esprit critique qui tend à disparaître de nos jours, nous avons pu nous informer correctement et avons reçu les messages de personnes remarquables comme Simone Weil, Hannah Arendt, Lucie Aubrac, etc.

« Carla » propagande et l'abrutissement sont tels que ces oligarques pourraient bien recommencer et faire élire même Hitler en 2012

et ils proposent encore une fois.

Le choix de la peste ou du choléra.

hier c'était le choix de la défaite, pauvre France.

Les dés sont biaisés à l'avance.

La farce des élections présidentielle ne doit pas se reproduire.

C'est pourquoi l'on doit se rallier.

à cette phrase largement commentée.

depuis maintenant plus de 222 ans.

« Je vote la mort » .

Voilà le cri de ralliement.

« en 2012, je vote la mort ».

Pour pousser la masse à l'élection.

et mieux cacher la trahison.

On dit que beaucoup sont morts pour avoir le droit de voter.

C'est mensonge ils sont morts pour la liberté.

Elle est subjective et pourtant réalité.

La Tunisie ou l’Amérique du sud enviaient ce droit.

Au début seulement ça marchait droit.

Car les gens au départ sont plein d'espoir.

Après seulement il broient du noir.

Car le pouvoir corrompt.

C'est celui qui a l'argent et la propagande qui remporte l'élection.

Avant que la technique et la propagande n'arrivent c'est plutôt la religion.

cela n'est vraiment pas inquiétant et tout à fait normal,

C'est la seule petite garantie d'une certaine « morale ».

C'est inscrit depuis des lustres dans la culture locale.

C'est après que cela peut se gâter.

Car le pouvoir corrompt.

Faut avoir la volonté et surveiller.

Ce pays, la France.

Ce n'est pas un pays.

C'est l'hiver.

Car il tue ses paysans.

Et au sud aussi .

Il tue ces paysans.

Avec OMC et FMI.

Des abrutis mais c'est fini.

Ce pays, la France.

A toujours été divisé car il est différent, multiple.

Unis de force par des chefs.

Ou réunis qu'en cas de force majeur derechef.

Ce n'est qu'au dernier moment qu'il se force à se serrer les coudes.

Et il est grand temps maintenant.

Et comme ailleurs les chiens de garde ont largement utilisé cette différence.

Pour mieux aliéner toute résistance.

Asseoir leur autorité par le biais de l’État.

L’État n'est pas le peuple il a trahi.

Pour le peuple, l'oligarchie c'est fini.

Et c'est bien la faute aux élites.

Faut-il être idiot pour ne pas deviner la suite.

Le train du développement lancé à toute allure.

Nucléaire ou pas, droit dans le mur.

Mais des grains de sable peuvent enrailler la machine.

Et s'entassant en tas de sable pour amortir le choc.

La religion de la croissance est à rejeter en bloc.

Et pas seulement la tentation de l'Occident même en Chine.

Ami, entends-tu le vol noir des drones sur nos plaines ?.

Ami, entends-tu le bruit des sourds qui zappent sur leurs chaînes ?.

Il est ici le pays où les gens aux creux des lits font des rêves.

Il paraît que lorsque qu'un seul homme rêve ce n'est qu'un rêve.

Mais lorsque plusieurs font le même rêve cela devient réalité.

Un homme rêve d'une marche comme il en a toujours existé.

Moins atypique cependant qu'une vélorution.

Dans ce cas c'est une meilleure solution.

Marche pour la paix ou marche à l'ombre.

Marche d'une autre armée des ombres.

Marche pour ceci ou contre cela, marche pour la décroissance et désobéissance.

Cette fois ci c'est pour la délivrance.

Car ces fous veulent même privatiser les graines, l'eau la terre le feu manquent pas d'air.

Voici quinze ans une graine venant du pays du Vercors a été semé.

Il a poussé dru c'était le bon endroit au bon moment.

Depuis il donne chaque année une armée.

Arbre signal, ils marqueront le chemin vers la liberté.

Un démarrera des Glières.

Cyprès sempervirens toujours vert.

Si près de partir pour la guerre.

Car si on le pousse trop il attirera la foudre.

Mais Jean au Moulin a encore du grain à moudre.

Ce sera donc la marche des arbres.

Non pas une mais plusieurs peuvent partir d'un moment à l'autre.

De tous les endroits symboliques ou autres.

Le départ est de toute part.

Des Glières ou du Vercors ces îles sur la terre.

De Bretagne au son des cornemuses où on s'amuse.

Du pays basque en emmenant ceux du pays de la castagne.

Les alsaco, le Schnocheloch et les lorrains.

Ont des comptes à demander au bout du chemin.

Depuis 70 aux descendants de Versailles.

Car c'est bien à Paris qu'il faut qu'on aille.

Il ne s'agit pas cette fois-ci de danser la Carmagnole.

Mais faudrait pas qu'on trahisse une seconde fois les espagnols.

Toi le polac, l'arby le rital le juif errant le peintre grec.

L'épicier, le métallo le routier le menuisier.

La caissière la mercière la technicienne pas l'arlésienne.

Le bûcheron, le charpentier le mal lettré.

Car en France bientôt qu'est c'que tu crois comme chez les grecs.

Lève toi car il est temps.

Le noir le rouge le vert l'artisan.

L'ouvrier et paysan.

Ceci est un cri de ralliement.

Ami n'oublie pas, la mémoire.

Le départ est de toute part.

Du Vercors ou des Glières.

Et de toutes les autres îles sur la terre.

Dès que la neige disparaîtra.

Dès que le vent soufflera.

La marche des arbres partira.

Et si c'était un livre, ce pourrait être « l'enracinement » de Simone Weil

Et si c'était une musique, ce pourrait être « le Boléro » de Ravel

Et si c'était une image, ce pourrait être celle des enfants se faufilant entre les jambes des adultes durant cette marche, qui, avec une houe planteraient les arbres à chaque kilomètre.

Nanar, lib'Ellul Gorzi ecologica avaient presque tout prévu sur L’État, le feu vert, le bluff technologique, le système technicien et comment ne pas penser, le système et le chaos, voyez plutôt.

Tchao

Quincy, le 20 décembre 2011

"Pendant l'occupation, le monstrueux c'est l'hitlérisme, mais aussi une civilisation

où des médecins, des cheminots, des professeurs en arrivent à exécuter leur tâche

professionnelle, sans s'interroger sur elle. Parce que telle est l'habitude, parce

qu'on ne doit pas se poser le problème du mal à propos des choses qui vous touchent

de très près. Parce que la seule obligation concevable, pour les plus dévoués à leur

prochain, c'est de bien faire son boulot. Voilà qui est infiniment plus terrible que

le viol ou l'incendie, c'est l'existence d'organisations dont les membres sont devenus

de purs fonctionnaires, des instruments qui servent n'importe qui pour n'importe quoi.

Car si les États modernes veulent tout, c'est grâce à une telle mécanique qu'ils peuvent

tout."

[...]« La justice pour l'Allemagne aurait consisté à punir les grands chefs, avec les

exécutants les plus ignobles. Mais nous ne devons pas nous dissimuler que cette

justice-là n'atteint pas la faute essentielle : l'irresponsabilité du peuple. Ce que la

vraie justice exige, ce n'est pas l'exécution de quelques coupables, mais la destruction

d'un système. À la faute individuelle, il y a une réponse facile : le châtiment. À la

faute sociale, il n'y a qu'une réponse infiniment plus difficile : la conscience du poids

que le milieu fait peser sur la personne et la volonté de le transformer selon

l'impératif de la conscience. C'est une révolution et non une occupation, qui aurait pu

résoudre la question allemande. Celle qui aurait libéré l'homme de la machine et de

l'État. Mais les vainqueurs ne pouvaient la faire sans se mettre en question eux-mêmes. »

[...]

"L'esprit de système abstrait généralement une bonne raison, à partir de laquelle il

reconstruit tout le reste par prolifération idéologique. Ainsi s'opposent la liberté à

l'ordre, le mensonge à la vérité, la gauche à la droite. C'est en le divisant que les

forces du monde désarment en nous l'esprit. C'est en rapprochant ses contraires épars

que nous ferons jaillir la flamme de l'esprit. Conservateur ou révolutionnaire ? L'un et

l'autre, car deux choses permettent à l'homme de défier le temps. L'imagination et la

fidélité, l'une tournée vers l'avenir et l'autre vers le passé. C'est pourquoi les esprits

trop étroits pour les contenir à la fois les opposent."

[...]

"La force matérielle est la raison d'être de l'État et c'est parce que l'esprit n'arrive plus

à intégrer les puissances du monde, que la fonction matérielle prolifère

irrésistiblement dans le corps de l'humanité, comme un organe vigoureux envahirait

un organisme débilité. L'énorme appareil du Léviathan n'est que le résidu d'une

démission totale de l'esprit humain devant la force. Si celui-ci pouvait se saisir de

toute la puissance, l'édifice entier tomberait aussitôt en poussière."

[...]

"Pour être, et bien plus encore pour donner, l'homme doit pouvoir disposer de sa part

de force. Comment permettre à chacun d'accéder au pouvoir ? Non pas en le

déléguant à un Pouvoir total, mais en l'exerçant par lui-même et les autres. L'homme

doit imposer sa volonté aux structures politiques et techniques, au lieu de se laisser

conditionner par elles. Avec l'exercice quotidien du pouvoir l'individu fera à chaque

instant l'expérience de la responsabilité. Dans des sociétés à sa mesure, il s'habituera

progressivement à découvrir et à servir l'intérêt commun. Il apprendra à élargir son

horizon, sans perdre de vue sa vie concrète. Au lieu de subir du haut en bas une

impulsion qui ferme l'individu sur lui-même, la société vivra d'un mouvement qui

partira de la base pour aller au sommet."

[...]

"La prise du pouvoir n'est qu'une étape bien lointaine, qu'il serait désastreux de

vouloir hâter. Quand l'heure arrive de l'envisager vraiment, on peut dire que la plus

grande partie du chemin est déjà faite. La plupart des mouvements révolutionnaires

modernes ont vu leurs fruits pourrir parce qu'ils ont voulu les cueillir verts."

[...]

"Une entreprise aussi grave qu'un renversement de l'évolution actuelle, plus

particulièrement contre la politisation, ne peut commencer qu'au commencement : de

la pensée à l'action, de la personne aux personnes. Elle doit chercher tout d'abord la

réussite là où elle se trouve à sa portée, dans la profondeur et la clarté de la prise de

conscience. [...] Toute récolte demande son temps pour mûrir. Le plus grand des

efforts ne peut guère hâter cette maturation."

[...]

"La société sans État est une utopie, autant que l'homme sans péché. Elle supposerait

des individus parfaitement lucides, parfaitement bons et parfaitement forts, capable

de penser et d'agir à chaque instant en fonction de l'humanité."

[...]

"L'État est notre faiblesse, non notre gloire, voilà la seule vérité politique. Toute

société où l'individu se dégage de la totalité primitive suppose un gouvernement, des

lois et même une police, sans lesquels elle sombrerait dans un chaos plus écrasant

que leurs contraintes. Mais l'organisation politique contient les germes du désordre

auquel elle remédie. Au-delà d'un certain point, elle devient plus oppressive, que le

trouble dont elle prétend libérer. Il est impossible de supprimer l'État, mais il est non

moins nécessaire de le réduire au minimum."

[...]

"Pour limiter l'État, la condition de base est de ne plus l'identifier à la vérité, de

refuser absolument d'accorder une autorité sacrée au pouvoir politique."

[...]

"La fonction de l'État ne serait plus, alors, de réaliser le maximum d'une perfection

matérielle, mais d'assurer à chaque individu le minimum, à partir duquel commence

la liberté. Un strict minimum qui laisserait un contenu au risque."

[...]

"Une des formes les plus pernicieuse de la politisation de la société est cette

abstraction politique dans le mythe d'une personne. Il serait d'ailleurs assez facile d'y

remédier par l'interdiction de la propagande."

[...]

"La peur de la liberté est aussi commune que le besoin de s'en justifier. Si seule elle

peut valoriser notre conscience et nos rapports privés, nous ne faisons rien pour

accomplir les devoirs qu'elle suppose pour l'assurer aux autres et à nos descendants."

[...]

"Pour provoquer en l'homme le geste libérateur, il doit suffire de lui montrer à quel

point ce monde détruit sa liberté et à quel point il ne peut exister sans elle."

B.Charbonneau « l'Etat ».

« Selon lui, la guerre entre tribus est une façon de repousser la fusion politique, et donc empêcher la menace d'une délégation de pouvoir menant aux dérives intrinsèquement liées à la trop grande taille d'une société. »

[...]

« Les sociétés « primitives » refusent la différenciation économique et politique en interdisant le surplus matériel et l'inégalité sociale. » [...]

« L'histoire des peuples sans histoire, c'est [...] l'histoire de leur lutte contre l'État. »

Pierre Clastres « La société contre l'État »

L’alliance Charbonneau : listes des premiers (avec François) Partant :

(pareil affaire avec rouge , noir, etc , ça va faire du monde)

Les Kmer vert, Ayatolavert, curévert, talivert, Ghandivert,

Grinepisseamide la terre,

ATTakvert ( pour la taxe Dauphin),

M'PEPermint (mouvement pour l’éducation populaire),

Le feu vert (amical des pompiers de St Jean de Luz),

cercle des poètes disparus (Verlaine, Prévert, Appolivert, Supervert ...etc),

NPAV (le même verdi ),

PSV-UMPV-FNV-FOV-CFDTV (les mêmes décomposés),

Vert-dâtre (habitat groupé et pompe funèbre),

Vert de rage (liberté vaccinale),

Vert à soie (intersyndicale textile),

Vert de terre (agro-écologie,)

Le Vert-lent (décroissance et langue, patois, dialectes),

Décroissance à toute Beur-Zinc (association de quartier),

La décroissance à fond la caisse (intersyndicale transport -Poste-traction animal),

VertChueren (musique sans électricité),

La Vertblanterie (intersyndicale métallo),

Téléphone vert (musique avec électri-cité renouvelable),

Le Vert à boire (alcooliques anonymes),

Vert-naculaire (architecture bioclimatique),

Univerre (recyclage),

Vert-luisant (antinucléaire et radioprotection),

Racaille le vert (aide aux sans papier, sans logis, clandestins, jeune etc),

Un Vertébré (lombric-compostage),

Pic Vert (intersyndicale travaux public, VRD),

Vert à Cité (association de quartier, université d'été),

Le vert mi-sot (bibliothèque de quartier et bibliobus),

L'imbécile Verreux (journal politique),

Haras qui rit vert (traction animale satirique),

Le colvert déchaîné (journal satirique),

Vert-gerette (herboristerie, pharmacopée),

vert glacée (intersyndicale équipement travaux public),

Vert-Mail (personne âgée et communication),

Vert-mouth (bistrot- café philo),

Vert-ni (peinture naturelles),

Vert Nice âge (personne âgée artiste peintre de Nice),

Vert Olé (aide au réfugié espagnole, danse et soins MST +vice de forme),

Vert-onique (reconnaissance prostitution, Pharmacopée),

Vert-â (breton contre les porcheries sur caillebotis),

Vert-seau (astrologie, phytoépuration),

Vert- sillon (agroécologie),

Vert-dicte (conciliateur),

Vert -ical (secours en montagne),

Vert-ébral (osthéopathie. Médecine douce),

Vert-tige (herboristerie, pharmacopée et travaux en hauteur- accrobranche),

Vert-Veine (donneur de sang bénévole personne âgée),

Vert-tueuses (réinsertion professionnel),

DieVertissement (club de pétanque de Die),

Vert de gris (recyclage, brocante, robinetterie),

Vert-satile (girouettier),

Vert-semant (grainetier, jardinerie, banque de graines),

ASSE (association sportive de St Étienne),

MissuniVert (ma boulangère),etc...

(1) déjà sorti en 2009 http://bellaciao.org/fr/spip.php?article89044

(2) morceau d'allocution d'un âne de la Ripouxblique au salon de l'agriculture du 6 mars 2010

91. .publié20Dec2011.Petits "comptes" d'hiver.

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